Nous voulons des coquelicots

Pour le 1er février, c’est par ici!

Que faisons-nous, sinon reconstruire un monde possible et vivable, pour nous et nos enfants Le mouvement des coquelicots œuvre à la relocalisation de la politique. Comme on parle de circuits courts, comme on parle de relocalisation de l’économie. Nous sommes convaincus que l’énergie est là, dans la pièce même où nous dînons. Là où les gosses jouent et dessinent leurs premières lettres. On en reparlera, soyez-en sûrs.

Que vous en soyez à votre 5ème rassemblement ou tout frais débarqués dans le mouvement des Coquelicots, la procédure pour organiser cette heure d’échanges, de chants et – surtout – d’organisation pour pêcher des signatures est la même pour tous. Notre vadémécum pour organiser un beau rassemblement est à télécharger ici.

N’oubliez pas de déclarer votre rassemblement aux autorités compétentes entre 15 et 3 jours avant. Car se rassembler est un droit – constitutionnel, même! – (on vous l’explique dans la note ici qui implique de suivre une (rapide) procédure.

Vous nous avez envoyé tout un tas de chansons pas piquées des vers, que vous pouvez télécharger ici, ici, ici, et ici pour lancer une Coquelichorale de choc!

Aux nouveaux venus, on souhaitera la bienvenue et on se rappellera ensemble le sens de l’Appel. Ceux qui étaient là la fois précédente dresseront un bilan des 4 mois écoulés et nous imaginerons ensemble les prochaines actions à mener.

Avec UN objectif central, impératif, essentiel: récolter des signatures. A l’aide des feuilles de signatures, ou via une tablette ou avec votre téléphone portable. Faire signer, c’est le mot d’ordre! Veillez à ce que chaque participant reparte avec 2 feuilles de signatures, pour les ramener au prochain rassemblement.

Voici les événements annoncés pour le 1er février

673 événements

https://nousvoulonsdescoquelicots.org/a-vous-tous-amoureux-des-coquelicots/

24-01-19

Et si mon conseil municipal rejoignait l’Appel des coquelicots…

Attendu que :

Il arrive qu’un homme fasse fausse route. De même, une société peut se tromper de direction. L’aventure industrielle des pesticides a commencé dans l’euphorie en 1945. Il semblait alors que l’on avait découvert des produits miraculeux, qui allaient régler de nombreux problèmes restés sans solution. Nous aurions tous été enthousiastes devant ces merveilles.

70 années ont passé. Désormais, des centaines d’études parues dans les plus grandes revues scientifiques montrent que les pesticides sont un grand danger pour la santé humaine et tant d’auxiliaires de nos activités, comme les abeilles, qui pollinisent gratuitement une part de nos plantes alimentaires.

Il ne s’agit pas de montrer du doigt qui que ce soit. Nos paysans ont cru bien faire, mais désormais une course contre la montre est lancée, car le tiers de nos oiseaux – ce n’est qu’un exemple – ont disparu en seulement 15 ans, selon des travaux du CNRS et du Museum. Ou nous saurons arrêter cette machine qui n’obéit plus aux intérêts humains, ou nous en serons, nous et nos enfants, les victimes directes. Dans le domaine des pesticides, il n’y a jamais de fin. Le DDT a été interdit en 1972, et aussitôt remplacé par d’autres molécules. Le chlordécone a dévasté les Antilles, les néonicotinoïdes les ruchers, les fongicides SDHI sont omniprésents et angoissants, le glyphosate est un poison universel.

Notre passé séculaire montre qu’il est nécessaire à la société, de temps à autre, de réussir un sursaut qui la rend tout entière meilleure.

Le conseil municipal de ……       … réuni en séance le ../../2019

Assure qu’il est conscient de ses devoirs par rapport à ses administrés.

Décide, d’être du bon côté de l’Histoire et de la vie car il n’est pas trop tard pour explorer ensemble de nouvelles voies.

Rejoint l’Appel des coquelicots, qui demande l’interdiction de tous les pesticides de synthèse.