Les Rendez-vous automnaux de TET

Cet été ne fut absolument pas de tout repos sur le plan des mobilisations, de plus, agrémenté par le hold-up prémédité du chef de l’Etat, cette rentrée 2024 n’aura été que calendaire, sans avant & sans après depuis ce printemps, juste une continuité de mauvaises nouvelles… Pour autant, les nombreux aléas sociaux & environnementaux ne sauraient nous laisser de marbre, aussi cette rentrée une fois de plus va nous entraîner avec vélocité et détermination dans le champs des luttes et des expressions pour un monde que nous désirons au moins, le moins brutal possible, et au plus, le meilleur pour la planète et celles et ceux qui y vivent !

Ainsi et notamment, au fil du dérèglement climatique, de l’insouciance, sinon de la volonté délibérée de gaspiller, de s’approprier et de marchander le bien naturel précieux pour une utilisation commune et de droit inconditionnel, donc l’eau, nous proposons au public, au élus, une conférence débat sur la gestion des rivières, cela pour le bien de la nature dans son ensemble, ainsi que pour les besoins de tout un chacun. Celle-ci se tiendra le vendredi 4 octobre à 19h30, au CAP à St Amarin.

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 Journée mondiale de l’eau Wittelsheim

Rdv devant la mairie à 15H00

La journée mondiale de l’eau est une journée instituée par l’ONU. Proposée dans l’agenda 21 au cours du Sommet de Rio en 1992 et adoptée en février 1993 par l’AG de l’ONU. Elle se célèbre le 22 mars de chaque année, avec des thèmes différents, afin d’attirer l’attention sur l’importance de l’eau douce et de plaider pour la gestion durable de cette ressource naturelle. Il s’agit d’agir pour lutter contre la crise mondiale de l’eau, en appui à l’Objectif de développement durable.

En 2024, la Journée mondiale de l’eau se concentre sur l’eau pour la prospérité et la paix. L’UNESCO voudrait ainsi rappeler combien l’eau, dont le cycle est planétaire, se joue en permanence des frontières humaines. À nous d’en tirer les conséquences et de la percevoir comme ce qu’elle est : un bien vital et commun de l’humanité, qui doit donc s’envisager à l’échelle de l’humanité. »

Constatons avec amertume que ni les gouvernements français successifs, ni la grande majorité des élus de notre région – à part quelques rares qui soutiennent le combat incessant du collectif Déstocamine contre l’enfouissement des 42000 T. de toxicités, ne désirent pour rien au monde changer d’attitude sur ce sujet.

Ajoutons encore l’insistance criminelle du refus de mettre fin aux pesticides et autres engrais de synthèse au sein de l’agriculture conventionnelle, ou encore l’accaparement des sources d’eau par l’industrie de l’eau comme par exemple à Vittel dans les Vosges, et pour ne citer que notre région, doit être traduit tout simplement avec ces quelques mots : Après moi, le déluge !